Homa, c’est le nom « emboboïsé » de Hochelaga Maisonneuve. Un quartier au sud-est de Montréal. Quartier populaire et pauvre.
Depuis longtemps dans ce coin là, des « écrivains » s’expriment sur les murs. Parfois en haut des murs:
(Whiteness c’est blancheur, ce qui précède, nul besoin de traduire…)
Parfois même c’est au dessus des toits que l’on prend la parole:
La maison de la culture du quartier à voulu donner une teinte plus artistique à ces expressions murales en créant un coin dédié à la poésie:
Initiative sympathique, qui a retenu mon attention:
Un tableau noir est même là pour recueillir les écrits des passants:
La partie du bas du tableau a inspiré un pouéte. L’image est en petit pour éviter de choquer des âmes sensibles. Vous pouvez cliquer pour voir en grand, à vos risques et périls…
Bon début de semaines à toutes et tous.
J’aime cette idée de tableau noir sur lequel chacun peut s’exprimer selon sa poésie du moment 😉
Dazibaos à la mode Québécoise… un moyen d’expression qui ne fait pas toujours l’unanimité.
C’est très sympa comme suite
Cette exposition poétique est une très bonne idée ! Et chacun peut intervenir selon sa propre sensibilité, bien loin du monde des affaires et de l’argent roi ! Chris
Belle photo d’en-tête avec ces teintes automnales…La littérature n’est pas que dans les livres, quelquefois, il vaudrait mieux, mais ces bribes de poésie offertes aux passants pour apporter ce qu’il manque de chaleur aux murs sont un régal. Bonne journée!
Une excellente idée de nous donner à voir toutes ces expressions auxquelles on néglige souvent de s’attarder. C’est ingénu et émouvant. C’est beau.
C’est comme » avis à la population «
Très bien ce mur de la poésie. L’écrivain a voulu illustrer cette phrase : amis de la poésie, bonsoir !!
J’adore l’expression de rue: écrits peintures ou toutes autres formes.
Le tableau noir c’est une idée qu’on essaye de mettre en place dans mon quartier à nos risques et périls!!!