Étonnant, non? Mais c’est lui qui le disait. La preuve:
Je vous dirai que j’aime les fleurs d’une passion presque monomaniaque. Les fleurs me sont des amies « silencieuses et violentes », et fidèles. Et toute joie me vient d’elles. — (Octave Mirbeau, Le Concombre fugitif).
Qu’est-ce que le « concombre fugitif » vient faire dans des pages qui d’habitude parlent de photographie?
Je m’explique.
J’ai parfois l’impression que des « confrères » photographes sont monomaniaques. Certains ne chassent que les bibittes. Ils sont attirés par les araignées, les mouches. D’autres ne photographient que des femmes nues (je comprend mieux ceux-là, bien sur). Et d’autres encore n’en ont qu’après les oiseaux. Au point que sans le Canon EF 600mm f/4L IS II USM Lens, ils ne vivent plus.
Personnellement, je ne veux pas être un de ces monomaniaques. Je photographie n’importe quoi, n’importe comment, du moment que ça me fasse plaisir.
En fait ma seule monomanie c’est la photo.
Alors, aujourd’hui, au menu, pas de moineaux, des chevaux.
Des chevaux qui avaient l’air frigorifié. (eux aussi…)
Bonne journée à toutes et tous.
Ouvertes en grand, elles sont splendides.
Bonne soirée
Tu t’intéresses au chevaux encore. Ca me fait plaisir. Ou étais-tu? A part cela, ca va? Le livre de photographie sur Montréal?X
Date: Tue, 12 Jan 2016 16:20:53 +0000 To: raylebel@live.ca