Les recherches généalogiques ne sont pas sans danger.
Et ne me dites pas que la généalogie et la photographie, cela n’a aucun rapport.
Et bien si. Ça peut avoir un rapport et les constatations que l’on peut faire peuvent vous plonger dans un abîme de perplexité.
J’ai presque toujours fait de la photographie, mais me questionner sur mes ancêtres, c’est plus récent.
J’ai passé du temps à déchiffrer des pages numérisées de l’état civil de la haute-Savoie. Et dernièrement en manipulant mon petit Olympus OMD 1O, j’ai eu envie de faire des recherches « généalogiques » (bien que ce soit peu logique) à propos de l’ancêtre de ce boîtier. Et j’ai trouvé..
L’ancêtre du OMD10, c’est le OM 10.
Né en 1979, le OM 10 a eu en 2014, un fils le OMD 10 (D pour digital). Je dois préciser
qu’en matière de généalogie photographique, un boîtier peut-être né de « mère inconnue ». C’est le cas de ce petit Olympus…..
J’ai réussi à trouver en occasion un Olympus OM 10 que j’ai offert à ma fille. Elle ne jure que par les photos en argentique faites avec un appareil tout manuel.
La lecture des spécifications des deux appareils. L’ancêtre semble « cro-magnonesque ». Les capacités du rejeton sont incroyablement plus grandes tant en matière de vitesse, de sensibilité, et je passe sur la capacité limité des pellicules.
Ce qui me fait me poser des questions, c’est qu’entre ma fille et moi, il y a plus ou moins le même écart qu’entre le père et le fils Olympus. Alors, y a t-il la même différence de capacité entre ma fille et moi? Je ne suis pas certain d’avoir bien fait ces recherches…. C’est pour ça que la recherche généalogique n’est pas sans danger.
Bonne journée à toutes et tous